L'Illustration

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  • Le 29 novembre 1947, au siège de l'O.N.U. à New-York, après que l'assemblée des Nations Unies eut voté le partage de la Palestine, les délégués juifs se félicitent. En 1947, une faction britannique de la Royal Air Force est postée sur un balcon qui domine la place du Mur des Lamentations. L'un des deux pointe sa mitraillette vers un point situé en face de lui. L'autre militaire  parle au téléphone.
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Au début du XXème siècle, le long du jardin des Tuileries place de la Concorde à Paris, des femmes, avec à leur tête Madame SEVERINE (au centre au 1er plan) manifestent pour l'obtention du droit de vote. Elles se dirigent vers la statue de CONDORCET.
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  • En juin 1920, dans la maison communale de Plainpalais, un faubourg de Genève, se tient le Congrès international féministe organisé par l'Alliance internationale pour le suffrage des femmes. Sur l'estrade près de l'oratoire, se tient la présidente de l'Alliance, Carrie CHAPMAN CATT. La banderole indique JUS SUFFRAGII (droit de vote), la devise de l'Alliance.
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  • Le 9 août 1952, à Buenos Aires en Argentine, pendant les obsèques solennelles d'Eva Peron décédée deux semaines plus tôt à l'âge de 33 ans, le corps de l'épouse du président argentin Juan Peron, quittant le ministère du travail, où une foule nombreuse lui a rendu hommage pendant deux semaines, avant d'être conduit en un cortège grandiose vers le palais du Congrès.<br />
Avec sa disparition d'Eva Peron, les "descamisados", les millions d'ouvriers argentins perdirent leur héroïne, celle qui les avait soutenus dès 1945. Par son charisme et ses talents politiques, Evita joua un rôle primordial dans le régime populiste de son mari. Elle oeuvra beaucoup sur le plan social, contribuant à améliorer la santé publique et l'enseignement, accélérant l'instauration du droit de vote des femmes.
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • Le 15 août 1947, le jour de l'indépendance de l'Inde, à New-Delhi, le Parti du Congrès (Indian National Congress) de NEHRU procède à un vote à main levée pour décider de la partition ou non de l'Inde.Cette partition entre un Etat musulman, le Pakistan et un Etat hindou, l'Inde, est adoptée en raison des profondes rivalités entre Hindous et Musulmans. Le Parti du Congrès gouverne l'Inde indépendante jusqu'en 1977.
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  • En 1947 en France, Jacques DUCLOS, chef du Parti communiste français, dirige la campagne de ce dernier pour les élections municipales  des 19 et 26 octobre. <br />
Le parti communiste marque un net recul par rapport aux précédentes élections de 1935 et 1945. Le scrutin sera remporté par le Rassemblement du Peuple français (RPF) du général DE GAULLE, avec 40% des votes exprimés. <br />
Fort de ce succès, le général DE GAULLE demande, le 27 octobre, la dissolution de l'Assemblée et la révision de la Constitution.
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