L'Illustration

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  • Le 13 janvier 1898, l'écrivain français Emile ZOLA publie à la une du quotidien L'AURORE, une lettre adressée au Président de la République Felix FAURE, intitulée J'ACCUSE.  Convaincu de l'innocence de l'officier juif Alfred DREYFUS condamné à la prison à perpétuité pour trahison, le romancier est déjà intervenu par une série d'articles et de pamphlets. Son J'ACCUSE conduit à diviser la France en deux camps hostiles, dreyfusards contre anti-dreyfusards.  Il vaudra à son auteur une condamnation pour diffamation. ZOLA optera pour une période d'exil volontaire en Angleterre, à partir du 18 juillet 1898. Le 13 janvier 1898, l'ecrivain francais Emile ZOLA publie a la une du quotidien L'AURORE, une lettre adressee au President de la Republique Felix FAURE, intitulee J'ACCUSE.  Convaincu de l'innocence de l'officier juif Alfred DREYFUS condamne a la prison a perpetuite pour trahison, le romancier est deja intervenu par une serie d'articles et de pamphlets. Son J'ACCUSE conduit a diviser la France en deux camps hostiles, dreyfusards contre anti-dreyfusards.  Il vaudra a son auteur une condamnation pour diffamation. ZOLA optera pour une periode d'exil volontaire en Angleterre, a partir du 18 juillet 1898.
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  • La presse en France en 1901. Suite à une orientation politique differente au moment de l'affaire Dreyfus, le journal du Figaro déserté depuis par une partie de ses abonnés, a éffectué un changement de la rédaction, juin 1901. M. Périvier, administrateur du Figaro, veut par cette action, ramener le journal aux traditions qui firent son renom et son succés. La nouvelle rédaction du journal. De gauche à droite : MM Lara, Emile Gautier, Ardouin, Varenne, Mazereau, Meyac, Darimon, Leudet, Barbusse, Chincolle, Caillavet, Hasen, De Meurville.
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  • Manifestations du 1er mai 1906 à Paris: une charge de cavalerie contre des manifestants en train de renverser un omnibus.  "La plupart des manifestants arrêtés le 1er mai sont ou des apaches, des repris de justice bien connus de la préfecture, ou bien des agitateurs étrangers..." Illustration de couverture et extrait d'article du supplément illustré du Petit Journal, daté du dimanche 13 mai 1906.
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • En décembre 1930, lors d'une séance du Reichstag, les députés hitleriens tournent le dos à la tribune et affectent de lire le journal pour marquer leur refus d'écouter les discours des députés communistes.
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