L'Illustration

  • Connexion photothèque
  • Plus de 12 millions d'images !
  • Un Journal unique
  • Nos dossiers thématiques
    • All Galleries
    • Search
    • Cart
    • Lightbox
    • Client Area
  • Contact
  • Accéder au Journal
  • Facebook
  • Twitter
x

Search Results

Refine Search
Match all words
Match any word
Prints
Personal Use
Royalty-Free
Rights-Managed
(leave unchecked to
search all images)
18 images found
twitterlinkedinfacebook

Loading ()...

  • En 1935, ces combattants Moros posent sur une plage des Philippines.  Peuple musulman, les Moros vivent sur l'île de Mindaneo et sur les îles Sulu de l'archipel.
    000550_001.jpg
  • Le général Gillain décorant le commandant Dreyfus.  L'Illustration du 28 juillet 1906.
    001820_014.jpg
  • Le gabarit de l'expert Bertillon.  Superposition par laquelle M. Bertillon démontrait que le borderau avait été écrit à l'aide d'un gabarit, placé sous le papier pelure, et dans lequel le mot "intérêt", pris dans une lettre de M. Mathieu Dreyfus, servait de clef.  Paru dans L'Illustration du 21 juillet 1906.
    001820_011.jpg
  • Fac-similé de la pièce 371 du dossier de l'affaire Dreyfus.  Paru dans L'Illustration du 21 juillet 1906.
    001820_006.jpg
  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
    001820_001.jpg
  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
    001820_001.jpg
  • Marocains écoutant en 1928 les concerts européens transmis par un superhétérodyne. Le superhétérodyne est un récepteur de signaux modulés en amplitude dans lequel des signaux fournis par un amplificateur haute fréquence sont mélangés à ceux que fournit un oscillateur local, de façon à obtenir des signaux de moyenne fréquence, que l?on amplifie.
    000162_001.jpg
  • Devant le front des troupes: le général Gillain donnant l'accolade au commandant Dreyfus.  L'Illustration du 28 juillet 1906.
    001820_013.jpg
  • Les parties blanches ont été voilées par M. Bertillon, pour supprimer certains passages, sur le cliché négatif de son dessin original.  Paru dans L'Illustration du 21 juillet 1906.
    001820_010.jpg
  • Le défilé des troupes devant le général Gillain et les deux nouveaux légionnaires: le commandant Dreyfus et le commandant Targe. L'Illustration du 28 juillet 1906.
    001820_015.jpg
  • Le général Picquart venant assister à la cérémonie de remise des insignes de la Légion d'Honneur au commandant Dreyfus, Paris, le 21 juillet 1906.  L'Illustration du 28 juillet 1906.
    001820_012.jpg
  • Fac-similé du "Faux Henry", pièce 375 du dossier de l'affaire Dreyfus. C'est ce faux qui provoqua la première révision en 1899.  Paru dans L'Illustration du 21 juillet 1906.
    001820_009.jpg
  • Epilogue de l'affaire Dreyfus: le terrain du duel Sarraut-Pugliesi-Conti, Ville-d'Avray, 1906. - Vue du lieu où se déroula, le 13 juillet 1906, à Ville-d'Avray, le duel entre Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti, devant la villa de M. Gast, député de Seine-et-Oise et parent du nouveau général Picquart.  Les croix marquent les places exactes occupées par le combattants et leurs témoins.  A l'origine de ce duel, une rixe entre Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti provoquée ce même 13 juillet à la Chambre des députés (cf image ILL062033). Pendant la suspension de séance qui suivit l'agitation générale, les témoins s'abouchèrent: "M. Millevoye et le général Jacquey pour M. Pugliesi-Conti; M. Clemenceau, ministre de l'Intérieur, et M. Thomson, ministre de la Marine, pour M. Sarraut. (...) A peine M. Clemenceau a-t-il prononcé le sacramentel :"Allez, messieurs!" que le député de l'Aude attaque son adversaire à fond avec l'impétuosité fougueuse d'un mousquetaire gascon, s'enferre en quelque sorte sur l'épée tendue, qui l'atteint au sommet du poumon droit." Photographie et extrait d'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906.
    001820_002.jpg
  • Le 12 novembre 1940, à son arrivée en gare d'Anhalt en Allemagne, MOLOTOV, Président du Conseil des commissaires du peuple d'U.R.S.S. et commissaire aux Affaires Etrangères passe en revue les troupes allemandes en compagnie du Général KEITEL et du ministre allemand des Affaires Etrangères, Joachim VON RIBBENTROP.MOLOTOV est venu demander à HITLER quel serait le rôle de l'U.R.S.S. dans l'Europe future.
    002211_602.jpg
  • Le 27 mai 1938, le chancelier allemand Adolf HITLER annonce son plan pour l'industrie automobile allemande.  Ce plan est dans la lignée de sa décision en 1936 de créer la voiture du peuple, une VOLKSWAGEN dessinée par Ferdinand PORSCHE et qui sera construite dans l'usine de Fallersleben en Basse-Saxe.
    000581_001.jpg
  • En 1947 en France, Jacques DUCLOS, chef du Parti communiste français, dirige la campagne de ce dernier pour les élections municipales  des 19 et 26 octobre. <br />
Le parti communiste marque un net recul par rapport aux précédentes élections de 1935 et 1945. Le scrutin sera remporté par le Rassemblement du Peuple français (RPF) du général DE GAULLE, avec 40% des votes exprimés. <br />
Fort de ce succès, le général DE GAULLE demande, le 27 octobre, la dissolution de l'Assemblée et la révision de la Constitution.
    002211_681.jpg
  • Le 15 mars 1939, à Prague, après la soumission complète de la Tchécoslovaquie à l'Allemagne, le führer HITLER qui s'est installé au château du Hradshany, reçoit le président de la Tchécoslovaquie Emile HACHA. Après 3 heures d'entretien, HACHA est forcé de signer un accord stipulant qu'il remet le destin des peuples tchèques entre les mains de HITLER et de l'Allemagne.
    002211_553.jpg
  • En 1936, à Berlin, pendant le tournage du film de Leni RIEFENSTAHL, LES DIEUX DU STADE, consacré aux Jeux Olympiques de Berlin, un caméraman filme le plongeon arrière d'un athlète. <br />
Dans ce film documentaire réalisé à la gloire de la "beauté dans le combat olympique", la cinéaste allemande révèle un sens remarquable du montage. <br />
Dès 1935, la jeune femme s'affirme comme la réalisatrice officielle du IIIème Reich. LES DIEUX DU STADE, dont le titre original est OLYMPIA, est un documentaire de propagande à la gloire des héros de la germanité. <br />
La scène dont est tirée cette photographie figure dans la deuxième partie du film, intitulée Fest der Schönheit (Fête de la beauté) après une première partie consacrée à la Fest der Völker (Fêtes des peuples).
    002211_230.jpg