L'Illustration

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  • Paris Orléans chemin de fer
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  • Octobre 1904, lors du Salon de l'automobile organisé au Grand Palais à Paris, stand de l'entreprise Renault Frères.  Photographie inédite du fonds L'Illustration.
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  • Octobre 1948, au Grand Palais à Paris, visiteurs du Salon de l'Automobile autour d'un modèle de la marque Delahaye.
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  • Octobre 1946, sur le stand Citroën du Salon de l'automobile de Paris, visiteurs observant le moteur de la première 2 CV commercialisée.  Photographie inédite du fonds L'Illustration.
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  • Sur les chantiers de l'exposition universelle de Paris en 1937 - la tranchée du chemin de fer des Invalides à Versailles transformée en tunnel entre le pont des Invalides et l'avenue de Suffren -
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  • En 1906, au Grand Palais à Paris, le Salon de l'automobile est l'occasion pour les élégantes en visite d'exhiber chapeau et fourrures à la dernière mode.  Dessin d'après nature de Louis Sabattier paru dans L'Illustration du 15 décembre 1906 (lavis d'encre de Chine, traces de crayon sur carton). MODE - Le salon de l'automobile au Grand palais - les dernières modes : chapeaux, fourrures, moteurs et châssis.
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  • La police emmène Monsieur Louis Grégori qui vient de tirer deux coups de feu, blessant au poignet le commandant Dreyfus qui assistait au transfert des cendres d'Émile Zola au Panthéon.
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  • Débarcadère du chemin de fer du Nord rue Lafayette
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  • Embarcadère du chemin de fer de Strasbourg
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  • La police emmène Monsieur Louis Grégori qui vient de tirer deux coups de feu, blessant au poignet le commandant Dreyfus qui assistait au transfert des cendres d'Émile Zola au Panthéon.
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  • Levée du corps d'Emile Zola, Paris, 1902. - Le 5 octobre 1902 à Paris, devant le domicile de l'écrivain français Emile ZOLA, au 21, rue de Bruxelles, un groupe d'hommes procède, sous les honneurs militaires, à la levée du corps du romancier décédé dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902.  ZOLA est mort à l'âge de 62 ans, asphyxié par le poêle défectueux de son bureau. Si l'origine accidentelle de son décès a été officiellement reconnue, certaines hypothèses envisagent la possibilité d'une action criminelle peut-être liée à l'engagement du romancier en faveur du capitaine DREYFUS.  Le 5 octobre 1902 a Paris, devant le domicile de l'ecrivain francais Emile ZOLA, au 21, rue de Bruxelles, un groupe d'hommes procede, sous les honneurs militaires, a la levee du corps du romancier decede dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902.  ZOLA est mort a l'age de 62 ans, asphyxie par le poele defectueux de son bureau. Si l'origine accidentelle de son deces a ete officiellement reconnue, certaines hypotheses envisagent la possibilite d'une action criminelle peut-etre liee a l'engagement du romancier en faveur du capitaine DREYFUS.
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  • Levée du corps d'Emile Zola, Paris, 1902. - Le 5 octobre 1902 à Paris, devant le domicile de l'écrivain français Emile ZOLA, au 21, rue de Bruxelles, un groupe d'hommes procède, sous les honneurs militaires, à la levée du corps du romancier décédé dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902.  ZOLA est mort à l'âge de 62 ans, asphyxié par le poêle défectueux de son bureau. Si l'origine accidentelle de son décès a été officiellement reconnue, certaines hypothèses envisagent la possibilité d'une action criminelle peut-être liée à l'engagement du romancier en faveur du capitaine DREYFUS.  Le 5 octobre 1902 a Paris, devant le domicile de l'ecrivain francais Emile ZOLA, au 21, rue de Bruxelles, un groupe d'hommes procede, sous les honneurs militaires, a la levee du corps du romancier decede dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902.  ZOLA est mort a l'age de 62 ans, asphyxie par le poele defectueux de son bureau. Si l'origine accidentelle de son deces a ete officiellement reconnue, certaines hypotheses envisagent la possibilite d'une action criminelle peut-etre liee a l'engagement du romancier en faveur du capitaine DREYFUS.
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  • Le 5 octobre 1902 à Paris, lors des funérailles de l'écrivain français Emile ZOLA, le cortège funèbre se dirige vers le cimetière Montmartre où doit reposer le défunt.  Escortant le char funèbre, on distingue de gauche à droite, le critique d'art Théodore DURET, qui soutint ZOLA pendant l'Affaire DREYFUS, le critique musical et compositeur français Alfred BRUNEAU, ami du romancier qui introduisit le naturalisme dans l'opéra, l'écrivain Abel HERMANT et l'éditeur Georges CHARPENTIER, qui publia notamment la série des ROUGON-MACQUART. Le 5 octobre 1902 a Paris, lors des funerailles de l'ecrivain francais Emile ZOLA, le cortege funebre se dirige vers le cimetiere Montmartre ou doit reposer le defunt.  Escortant le char funebre, on distingue de gauche a droite, le critique d'art Theodore DURET, qui soutint ZOLA pendant l'Affaire DREYFUS, le critique musical et compositeur francais Alfred BRUNEAU, ami du romancier qui introduisit le naturalisme dans l'opera, l'ecrivain Abel HERMANT et l'editeur Georges CHARPENTIER, qui publia notamment la serie des ROUGON-MACQUART.
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  • Le 16 janvier 1955, sur le Quai de Bercy à Paris, ce jeune garçon ramant dans une canadienne (canoë aux bords relevés) longe une automobile abandonnée, de l'eau jusqu'aux bas-flancs.
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  • En 1930, l'angle de la rue Oudinot et de la rue Rousselet à Paris (7ème arrondissement), où le général KOUTIEPOF aurait été enlevé le 26 janvier 1930.
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  • Vue en 1908, depuis la rue de Vaugirard, de l'impasse Ronsin dans laquelle se trouvait l'hôtel du peintre Adolphe Steinheil (au n° 6 bis, vers le fond sur le trottoir de droite). <br />
Photographie parue dans L'Illustration du 6 juin 1908. <br />
Le 31 mai 1908, la mère et l'époux de Marguerite Steinheil, Emilie Japy et le peintre Adolphe Steinheil, furent découverts assassinés dans leur hôtel du quartier de Vaugirard à Paris. Retrouvée ligotée sur le lit de sa fille Marthe, Marguerite Steinheil fut rapidement accusée en raison des incohérences de ses dépositions. <br />
Emprisonnée en novembre 1908, elle sera acquittée par les Assises de Paris, faute de preuves, le 13 novembre 1909, à l'issue d'un procès de dix jours qui passionnera la France entière.
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  • Le soir du 26 août 1944, le général Leclerc et la 2ème D.B., entrés la veille dans Paris arrivent devant Notre-Dame de Paris, au milieu de l'enthousiasme des Parisiens.
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  • Liberation de Paris. <br />
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Aout 1944, scene de liesse entre les Parisiens et les troupes alliees.<br />
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Liberation de Paris. August 1944, scenes of joy between Parisians and the Allied troops.
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  • Liberation de Paris. <br />
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Aout 1944, scene de liesse entre les Parisiens et les troupes alliees.<br />
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Liberation de Paris. August 1944, scenes of joy between Parisians and the Allied troops.
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  • Liberation de Paris. <br />
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Les 17-18 aout 1944, soldat allemand faisant la circulation pres de l'Opera Garnier, pendant la greve des agents de police.<br />
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Liberation de Paris. On the 17th-18th August 1944, a German soldier directs traffic near the Garnier Opera during the police officers' strike.
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  • En septembre 1900, l'acheminement des bagages à l'arrivée d'un train à la gare d'Orléans, quai d'Orsay à Paris.  "A l'arrivée, les bagages déchargés des fourgons sont très rapidement montés sur les tables de distribution, dans la salle prcédant le vestibule de sortie, grâce à un ingénieux système de tapis roulant et de monte-charges."  Photographie et extrait d'article de L'Illustration du 15 septembre 1900.
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  • Manifestations du 1er mai 1906 à Paris: une charge de cavalerie contre des manifestants en train de renverser un omnibus.  "La plupart des manifestants arrêtés le 1er mai sont ou des apaches, des repris de justice bien connus de la préfecture, ou bien des agitateurs étrangers..." Illustration de couverture et extrait d'article du supplément illustré du Petit Journal, daté du dimanche 13 mai 1906.
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  • Le général Picquart venant assister à la cérémonie de remise des insignes de la Légion d'Honneur au commandant Dreyfus, Paris, le 21 juillet 1906.  L'Illustration du 28 juillet 1906.
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • Manifestations syndicales du 1er mai 1906 à Paris en faveur du repos hebdomadaire et de la journée de travail limitée à huit heures.  Le préfet de police Louis Lépine donnant ses ordres au commissaire divisionnaire Bouvier. A gauche, le tambour pour les sommations.  Photographie retouchée parue en couverture de L'Illustration du 5 mai 1906.
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  • Manifestations syndicales du 1er mai 1906 à Paris pour la revendication du repos hebdomadaire et de la journée de travail limitée à huit heures. Un manifestant arrêté et conduit au poste de police.  Photographie parue dans L'Illustration du 5 mai 1906.
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  • Manifestations du 1er mai 1906 à Paris pour la revendication du repos hebdomadaire et de la journée de travail limitée à huit heures. Double arrestation place de la République d'un homme et d'une femme par les agents de police.  Photographie parue dans L'Illustration du 5 mai 1906.
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  • Manifestations du 1er mai 1906 à Paris. Arrestation d'un manifestant près de la caserne du Chateau-d'eau.  Sur les murs, affiches électorales de Henri Tournade et Lucien Prevost. Photographie parue dans L'Illustration du 5 mai 1906.
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  • En octobre 1889 à Paris, au Palais de l'industrie de l'Exposition Universelle, une délégation nord-africaine défile le jour de la distribution des prix, devant la tribune des Officiels. Peinture de Henri GERVEX pour le Salon de 1897.
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  • Libération de Paris, 1944, le général  De Gaulle et Winston Churchill sous l'Arc de Triomphe.
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  • Le 7 mai 1932 à Paris, quelques minutes après avoir reçu deux balles tirées par un homme d'origine russe nommé Gorgulov, le président de la république Paul Doumer est transporté à l'hôpital Beaujon où il décédera peu après.
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  • Couverture de L'Illustration du 1 décembre 1877 - La pension alimentaire de la rue de la verrerie - BHV - Grand Magasin - <br />
Vue d'un établissement de bienfaisance fondé par Mle Ruelle propriétaire du bazar de l'Hotel de Ville. Pour 40 ou 50 centimes, les nécessiteux, peuvent y obtenir un repas substanciel et abondant. La pension alimentaire est ouverte depuis le 5 novembre 1877, au 18 rue de la Verrerie à Paris - L'établissement est un vaste hangar à couverture vitrée, aux murs ornés de cartes géographiques, et où 400 consommateurs peuvent prendre place ensemble. Pauvreté - Charité
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  • Affaire Dreyfus : La réhabilitation - Remise des insignes de la Légion d'Honneur au commandant Dreyfus à l'Ecole Militaire, Paris, le 21 juillet 1906. Après la cérémonie : le commandant Dreyfus embrassant sa femme. -  En 1894, Alfred Dreyfus, officier français juif d'origine alsacienne, est inculpé dans une affaire de fiches sur les secrets militaires français. Suspect idéal, il est condamné à la déportation au bagne de Guyane en 1895. Rapatrié, Dreyfus est jugé par un second conseil de guerre à Rennes, 1899, qui le juge coupable de trahison avec circonstances atténuantes.  Dix jours plus tard, Dreyfus obtient la grâce présidentielle. Il faut attendre 1906 pour que la cour de cassation annule sans renvoi le jugement Dreyfus. Alfred Dreyfus est définitivement innocenté et réintégré à l'armée.
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  • Couverture du numéro spécial de France-Illustration pour le 41ème Salon de l'Automobile de 1954, représentant, lors d'un entraînement sur le circuit de Nürbugring (Allemagne), trois Formule 1, la Mercedes (n°18) conduite par Juan Manuel Fangio, la Gordini (n°9) du Français Jean Behra et  la Ferrari (n°3) de Mike Hawthorn.
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  • Le défilé des troupes devant le général Gillain et les deux nouveaux légionnaires: le commandant Dreyfus et le commandant Targe. L'Illustration du 28 juillet 1906.
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  • Le général Gillain décorant le commandant Dreyfus.  L'Illustration du 28 juillet 1906.
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  • Devant le front des troupes: le général Gillain donnant l'accolade au commandant Dreyfus.  L'Illustration du 28 juillet 1906.
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  • Les syndicats ouvriers en France en 1893.  Les membres de la permanence du syndicat des chemins de fer au travail. Le syndicat des chemins de fer représente alors le plus gros adhérent de la Bourse du Travail et possède la permanence la plus importante. Ses attributions: tenue de livres, comptabilité et caisse, rédaction des procès-verbaux, réception et classement des plaintes qui seront examinées, étude préparatoire des futures revendications... "C'est là, vraiment, une puissance: un simple mot d'ordre parti de cette permanence, un télégramme, et voilà demain tout le réseau de fer en grève, et il s'y mettra passivement, sans même demander pourquoi, comme viennent de le faire les cochers, comme tant d'autres tous les jours."  L'Illustration du 8 juillet 1893.
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  • La catastrophe de la rue Jean-Goujon 1897 : Plan du Bazar de la charité.
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  • Affaire Dreyfus - La parade d'exécution dans la cour de l'école militaire. -
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  • Suite à l'affaire Dreyfus - Le procès de M. Émile Zola : vue de la salle pendant le procès. -
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Suite à l'affaire Dreyfus - Le procès de M. Émile Zola : vue de la salle pendant le procès. -
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  • La maison du grand-occident - Jules Guérin -
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  • L'affaire Dreyfus - La dégradation du capitaine Dreyfus : Le défilé devant les troupes. -
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  • L'incendie du Bazar de la charité 1897. : Photographies instantanées prises pendant l'incendie du Bazar de la charité.
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  • Incendie du Bazar de la charité : Après le sinistre, le triage des bijoux.
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  • Incendie du Bazar de la charité : Après le sinistre, partie droite du terrain où se trouvait le principal amoncellement de cadavres
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  • Incendie du Bazar de la charité : Avant la fête, photographie des décors faite la veille de la catastrophe.
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  • Incendie du Bazar de la charité : Avant la fête, photographie des décors faite la veille de la catastrophe.
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  • L'affaire Dreyfus - L'arrestation du baron Christiani à l'hippodrome d'Auteuil. -
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  • Le procès Émile Zola - Le général de Pellieux -
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  • L'affaire Zola - Place Dauphine : l'arrivée des officiers. -
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  • La maison du grand-occident - M. Guérice sur les toits, cité d'Hauteville. -
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  • La maison du grand-occident - Une bagarre rue de Chabrol -
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  • L'affaire Dreyfus - La dégradation du capitaine Dreyfus : La parade d'exécution dans la cour de l'école militaire. -
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  • L'affaire Dreyfus - Dégradation du capitaine Dreyfus : La parade d’exécution dans la cour de l'école militaire. -
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  • L'affaire Dreyfus - La dégradation du capitaine Dreyfus dans la cour de l'école militaire. -
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • En 1925, Winston Churchill, alors chancelier de l'Echiquier, sortant de l'Elysée après avoir été reçu par le président de la République française Gaston Doumergue.
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  • L'affaire Dreyfus - L'arrestation du baron Christiani à l'hippodrome d'Auteuil. -
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  • L'affaire Zola - Place Dauphine : l'arrivée des officiers. -
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  • La maison du grand-occident - M. Guérice sur les toits, cité d'Hauteville. -
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  • L'affaire Dreyfus - La dégradation du capitaine Dreyfus : La parade d'exécution dans la cour de l'école militaire. -
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  • L'affaire Dreyfus - La dégradation du capitaine Dreyfus : La parade d'exécution dans la cour de l'école militaire. -
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Incendie du Bazar de la charité : Cinq minutes après, entre le mur et la fournaise.
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  • Incendie du Bazar de la charité.
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  • Incendie du Bazar de la charité : Avant la fête, photographie des décors faite la veille de la catastrophe.
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  • Incendie du Bazar de la charité : Quatre heures et quart, la fête bat son plein…
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  • Incendie du Bazar de la charité : photographie instantanée prise pendant l'incendie du Bazar de la charité.
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • L'affaire Dreyfus - La dégradation du capitaine Dreyfus : La parade d'exécution dans la cour de l'école militaire. -
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  • Vote sur la Sécurité Sociale - 24 avril 1947
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  • Incendie du Bazar de la charité : Après le sinistre, le triage des bijoux.
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  • Etapes du raid automobile Pékin-Paris entre Tcha-Tao et Ourga, du 13 au 23 juin 1907. Le dieu vivant d'Ourga en Mongolie, chef suprême, temporel et spirituel des bouddhistes mongols, et ses prêtres examinant la voiture de Dion-Bouton de l'un des concurrents de la course.  Photographie parue dans L'Illustration du 20 juillet 1907.
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  • L'inauguration de la Mosquée de Paris,.  Le cortège quittant le jardin pour pénétrer dans le patio où vont être prononcés les discours. Au premier plan, à G, le sultan Moulaï Youssef, Si Kaddour ben Ghabrit, derrière eux le président français, M Gaston Doumergue. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922 se sont terminées en 1926, a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif. L'inauguration de la Mosquée de Paris, le cortège quittant le jardin pour pénétrer dans le patio où vont être prononcés les discours. Au premier plan, à G, le sultan Moulaï Youssef, Si Kaddour ben Ghabrit, derrière eux le président français, M Gaston doumergue. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Les chemins de fer en France. Compagnie du Chemin de Fer du Nord et Société Nationale des Chemin de Fer Belges. L'inauguration de la ligne Paris - Bruxelles et Paris - Liège par les T.A.R du réseau du Nord, le 17 mai 1937.
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  • Visite du Bey de Tunis à la Mosquée de Paris, 12 août 1926. Le Bey, quittant la salle des prières entre M Lucien Saint (à sa D) et Ben Ghabrit (à sa G) va présider l'inauguration de la salle des conférences de l'institut musulman. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Mars 1922, la cérémonie de l'orientation de la futur grande Mosquée de Paris. Penchés sur les boussoles, de GàD, Si Kaddour Ben Ghabrit, S Exc Abadou, chambellan du sultan, Ben Sayah, astronome à Fez, et à côté de celui-ci, M Maurice Colrat. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Voyage en France du sultan du Maroc, Moulaï Youssef, juillet 1926. Les différentes étapes du sultan, lors de son séjour en France : Inauguration de la Grande Mosquée de Paris, l'arrivée du sultan et du président de la république dans la première cour. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Visite du Bey de Tunis à la Mosquée de Paris, et inauguration le 12 août 1926, de la salle des conférences de l'institut musulman. Dans la salle des conférences : le secrétaire général de l'institut musulman. M Robert Reynaud, lisant son discours. Au centre, le Bey, ayant à sa droite M Georges Leygues, représentant le gouvernement, à sa gauche, M Lucien Saint, résident général en Tunisie. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Voyage en France du sultan du Maroc, Moulaï Youssef à Paris, juillet 1926. Les différentes étapes du sultan, lors de son séjour en France : Moulaï Youssef Chérif, Sultan du Maroc, en visite chez le maréchal Lyautey à Thorey en Lorraine. Deux enfants du village font la révérence devant le sultan. De GàD : le maire de Thorey, M. Steeg, Si Kaddour Ben Ghabrit tenant les fleurs offertes au souverain, le sultan et le maréchal Lyautey. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Voyage en France du sultan du Maroc, Moulaï Youssef, juillet 1926. Les différentes étapes du sultan, lors de son séjour en France : Inauguration de la Grande Mosquée de Paris, les délégués marocains, algériens, tunisiens, syriens, groupés dans le patio pendant les discours. La Grande Mosquée de Paris, dont les travaux commencées en 1922, se sont terminées en 1926. Elle a été construite pour rendre hommage aux 100 000 musulmans morts durant la première guerre mondiale. Elle fut inaugurée le 15 juillet 1926 par le président Gaston Doumergue, en présence du Sultan du Maroc Moulaï Youssef Chérif.
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  • Monsieur Emile Zola - Dessin d'après nature fait lors de son voyage de Paris à Mantes sur une locomotive.<br />
"M. Émile Zola : dessin d'après nature fait lors de son voyage de Paris à Mantes sur une locomotive", couverture de L'Illustration, 8 mars 1890<br />
À la recherche de documents vécus pour son roman La Bête humaine, Émile Zola obtint de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest l'autorisation d'effectuer un voyage sur une locomotive haut le pied le 15 avril 1889. Ce dessin contribue à la publicité du roman, sur le point de paraître, et nous montre un Zola grand bourgeois, aminci et élégant, loin du paysan de Médan.
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  • Le 28 mai 1937, salle Wagram à Paris, l'homme politique français Jacques DORIOT s'adresse aux militants rassemblés autour de lui pour sceller leur adhésion au Front de la Liberté, mouvement dans lequel il cherche à rallier tous les partis à caractère national contre le Front Populaire.<br />
Ancien communiste, DORIOT a fondé en 1936 le Part Populaire Français (PPF), sur le modèle des partis fascistes. <br />
A sa gauche, se tient Pierre TAITTINGER, député de Paris et directeur des Jeunesses patriotes.
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  • En 1900, durant l'Exposition Universelle de Paris, un groupe de femmes voilées traverse Paris pour se rendre au Trocadéro, suscitant la curiosité des Parisiens. <br />
Les artistes nord-africains venus se produire en spectacle pour l'Exposition sont logés dans des meublés de Passy ou d'Auteuil. Pour se rendre sur leur lieu de représentation, ils traversent deux fois par jours ces quartiers, attirant sur leur passage un public nombreux.<br />
Aquarelle de Louis SABATTIER
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  • Vue générale vers 1938 de l'île de la Cité avec Notre-Dame de Paris et les Quais de la Seine à Paris. Sur le Quai de la Tournelle, sont déchargées des marchandises provenant de péniches amarrées.
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  • Le 18 mai 1953, à Paris (France), l'artiste espagnol Pablo PICASSO installe lui-même l'une de ses oeuvres, LA GUENON ET SON PETIT. Le lendemain sera inaugurée à la galerie Louise LEIRIS de Paris une exposition de ses sculptures, céramiques et peintures.
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  • Retro Colette<br />
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© L'ILLUSTRATION<br />
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La grande romanciere francaise est morte a Paris, agee de 81 ans. Paris le 4 Aout 1954.
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  • En 1933, à Manille aux Philippines, la Chambre américaine des représentants est réunie lors d'une séance consacrée au bill BUTLER B. HARE adopté le 4 avril 1932 et relatif à l'indépendance de l'archipel.<br />
Ancienne possession espagnole, les Philippines sont, depuis le traité de Paris du 10 décembre 1898, sous la domination américaine. Depuis 1901, la colonie est placée sous l'autorité d'un gouverneur général nommé par le président des Etats-Unis. <br />
Déjà en 1920, le président américain George WILSON avait adressé au Congrès une recommandation pour que l'indépendance des Philippines soient reconnue. En 1930, un congrès international tenu à Paris, mettait les Etats-Unis en demeure de respecter ces engagements. <br />
Malgré le veto du président américain ROOSEVELT en 1932, le Congrès se montre favorable à l'indépendance des Philippines. <br />
Il est soutenu par les agriculteurs et les syndicats des Etats-Unis qui avec la crise des années 30, redoutent la concurrence des produits philippins et l'immigration d'une main d'oeuvre bon marché.
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  • En février 1930, dans un bar voisin de la rue Rousselet à Paris, des policiers se mêlent secrètement aux Russes blancs ou rouges pour enquêter sur l'enlèvement mystérieux, le 26 janvier 1930, du général KOUTIEPOF, président de l'Union des anciens combattants russes.Dessin d'André GALLAND. Disparition du général Koutiepof - Dans un bar de chauffeurs, voisin de la rue Rousselet, des policiers se mêlent secrètement aux Russes blancs ... ou rouges. Les soucoupes s'entassent. On s'observe.
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  • En 1930, l'immeuble du 26, rue Rousselet à Paris (7ème arrondissement), où le général Koutiepof habitait le deuxième étage, avant sa disparition le 26 janvier 1930. L'immeuble, 26, rue Rousselet, qu'habitait (au 2 ème étage) le général Koutiepof
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  • Le 28 mai 1907, à Paris (France), la reine MAUD et le roi HAAKON VII de Norvège, donnant respectivement le bras au président de la République française Armand FALLIERES et à son épouse, sortent d'une réception officielle à l'Hôtel de Ville, donnée à l'occasion d'une visite officielle des souverains norvégiens en France.
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  • Daguerréotype en 1839 à Paris, représentant les Tuileries, la Seine et le pont du Carrousel. <br />
Ce procédé photographique, utilisé surtout pour le portrait et le paysage, fût inventé par Louis Jacques DAGUERRE en 1838. Il consiste à fixer sur une feuille d'argent pur, plaquée sur cuivre, l'image obtenue par la chambre noire.
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  • Le cortege partant des Invalides pour traverser Paris.
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