L'Illustration

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  • Octobre 1946, sur le stand Citroën du Salon de l'automobile de Paris, visiteurs observant le moteur de la première 2 CV commercialisée.  Photographie inédite du fonds L'Illustration.
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  • En 1906, au Grand Palais à Paris, le Salon de l'automobile est l'occasion pour les élégantes en visite d'exhiber chapeau et fourrures à la dernière mode.  Dessin d'après nature de Louis Sabattier paru dans L'Illustration du 15 décembre 1906 (lavis d'encre de Chine, traces de crayon sur carton). MODE - Le salon de l'automobile au Grand palais - les dernières modes : chapeaux, fourrures, moteurs et châssis.
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  • La conquête du chemin de fer par le pneumatique.  La "Micheline", véhicule d'essai N°5 comportant 10 places et pouvant rouler à 125 kilomètres à l'heure.  Moteur Hispano 46 CV. A l'avant, un essieu fixe, freiné. Au milieu, un essieu moteur fixe, freiné. a l'arrière, un essieu porteur bissel (mode d'articultaion fort connu). Poids à vide, 3290 kilogrammes. Charge utile, 910 kilogrammes. "Il est équitable au surplus de constater que les frères Michelin, dont l'un est mort il y a quatre mois, ont été, par leur génie industrieux et leur foi, les auteurs géants de cette énorme révolution qui s'est accomplie en trois étapes: Cycles. Il y a quarante ans,e n 1891, apparaissait le premier pneumatique démontable pour bicyclettes (victoire de Charles Terront dans la course Paris-Brest-Paris).  Automobiles. Il y a trente-six ans, en 1895, dans la première grande course d'automobile Paris-Bordeaux-Paris, figurait le premier pneumatique d'automobile (voiture l'Eclair).  Chemins de fer. Aujourd'hui notre enthousisame salue cette invraisemblance: le pneumatique pour chemins de fer !" Photographie et extrait d'article parus dans L'Illustration du 25 juillet 1931.
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  • Le 4 juillet 1908 à Hammondsport, Curtiss au commande du "June Bug", doté d'un moteur Curtiss de 25 CV.
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  • En 1876, dans la salle des machines de l'Exposition Universelle de Philadelphie aux Etats-Unis, le président américain Ulysses GRANT, aux côtés de Georges CORLISS, actionne le levier mettant en mouvement le grand moteur conçu par ce dernier. <br />
La machine commande différents mécanismes destinés à tailler et raboter les bois, percer le fer et polir l'acier, tisser les étoffes ou imprimer les journaux. <br />
Gravure de Smeeton et Tilly.
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  • En 1903, sur le fleuve Potomac aux Etats-Unis, l'aéroplane de Langley sur sa catapulte de lancement surmontant un bateau-hangar. Semblable aux modèles de 1896, l'appareil, réalisation remarquable pour l'époque de l'ingénieur Manly, était doté d'un moteur donnant 52 CV. Les essais de lancement, en octobre et décembre 1903 furent cependant des échecs.
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  • Le 28 mars 1910 sur l'étang de Berre, l'hydravion de l'ingénieur et navigateur français Henri Fabre s'apprête pour la première fois à quitter l'eau. Vu ici d'arrière, moteur en marche, l'appareil repose sur trois flotteurs inventés par Fabre. Avec une surface de 24 mètres carrés et une envergure de 15 mètres, il pesait 475 kilos en vol. Le "Canard" d'Henri Fabre est aujourd'hui conservé au musée de l'Air et de l'Espace.
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  • Vers 1910, l'ingénieur français Edouard de Niéport, dit Nieuport. <br />
Après un premier monoplan en 1909, il réalisa en 1910, dans les meilleures règles de l'aérodynamique, un monoplan à moteur Nieuport 28CV, puis un biplace et un triplace. Il périt dans un accident aérien le 15 septembre 1911.
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  • Le 18 juillet 1905, quai de Billancourt, les aéroplanes sans moteur, conçus par Gabriel Voisin pour Louis Blériot et Ernest Archdeacon, prêts à être expérimentés sur flotteurs.
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  • En décembre 1902, sur le terrain de la Californie à Nice, l'"Aérodrome" de l'aviateur Ferdinand Ferber, composé d'un pylone supportant un fléau horizontal de 30 m au bout duquel est suspendu un Ferber n°6, biplan avec petit moteur actionnant deux hélices. Officier d'artillerie, Ferber est le premier Français à avoir compris, dès 1898, l'importance des travaux de Lilienthal. Il s'intéressa aussi aux expériences des frères Wright pour construire ses biplans.
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  • Le 23 mars 1911, à Douai, Louis Breguet battait le record du nombre de passagers en emmenant onze personnes sur cinq kilomètres à bord d'un biplan Breguet pourvu d'un moteur de 100CV.
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