L'Illustration

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  • En 1921, lors de l'inauguration de la foire d'Alger sur le champ de ma?uvres de Mustapha, le cortège du ministre de la marine M. GUIST'HAU  arrive aux portes de la ville.
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  • En 1913, dans Hyde Park à Londres, Winston Churchill et le colonel Seely regardant la Brigad of Guards.
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  • Au premier rang, le ministre de la France d'Outre-Mer Marius MOUTET, le ministre des Travaux publics et des Transports Jules MOCH, Francisque GAY, le chef du Gouvernement provisoire Félix GOUIN, le communiste et vice-président du Conseil des ministres Maurice THOREZ, vice-président du Conseil, le Garde des Sceaux Pierre-Henri TEITGEN, le ministre de l'Intérieur André Le TROCQUER. <br />
Au 2ème rang, le ministre des Affaires étrangères Georges BIDAULT, les communistes Charles TILLON et Marcel PAUL, respectivement ministre de l'Armement et ministre de la Production industrielle, le Secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil Gaston DEFFERRE, le ministre des Sports Marcel-Edmond NAEGELEN, M. PHILIP. <br />
Au 3ème rang, le ministre des Postes Jean LETOURNEAU, le ministre des Armées Edmond MICHELET, les communistes Laurent CASANOVA et François BILLOUX, respectivement ministre des anciens combattants et ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme, M. LONCHAMBON, le ministre de l'Agriculture et du Ravitaillement Pierre TANGUY-PRIGENT, le ministre communiste du Travail Ambroise CROIZAT et le ministre de la Population Robert PRIGENT.
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  • En avril 1950, à l'aéroport de New Delhi en Inde, NEHRU, Premier Ministre indien (à droite) accueille le Premier Ministre pakistanais, Liaqat Ali KHAN.Les deux hommes doivent discuter d'un accord entre le Pakistan et l'Inde pour aboutir à une paix véritable.
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  • Epilogue de l'affaire Dreyfus: le terrain du duel Sarraut-Pugliesi-Conti, Ville-d'Avray, 1906. - Vue du lieu où se déroula, le 13 juillet 1906, à Ville-d'Avray, le duel entre Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti, devant la villa de M. Gast, député de Seine-et-Oise et parent du nouveau général Picquart.  Les croix marquent les places exactes occupées par le combattants et leurs témoins.  A l'origine de ce duel, une rixe entre Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti provoquée ce même 13 juillet à la Chambre des députés (cf image ILL062033). Pendant la suspension de séance qui suivit l'agitation générale, les témoins s'abouchèrent: "M. Millevoye et le général Jacquey pour M. Pugliesi-Conti; M. Clemenceau, ministre de l'Intérieur, et M. Thomson, ministre de la Marine, pour M. Sarraut. (...) A peine M. Clemenceau a-t-il prononcé le sacramentel :"Allez, messieurs!" que le député de l'Aude attaque son adversaire à fond avec l'impétuosité fougueuse d'un mousquetaire gascon, s'enferre en quelque sorte sur l'épée tendue, qui l'atteint au sommet du poumon droit." Photographie et extrait d'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906.
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  • Le 5 janvier 1952, à Washington, la limousine présidentielle emmène le premier ministre britannique Winston Churchill et le président américain Harry Truman à Blair House. Une discussion importante se poursuivra plus tard dans la nuit à bord du yacht du Président.
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  • Le 4 août 1934, de gauche à droite, le général Werner VON BLOMBERG, chef de la Reichswehr, le chancelier-président Adolf HITLER et Rudol HESS, ministre du Reich et délégué du Führer à la chancellerie. <br />
Après le plébiscite de 1934 qui le reconnait Führer de l'Etat allemand, Adolf HITLER consolide son emprise sur le pouvoir en décrétant que le NSDAP (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei) serait désormais le parti unique dans le Reich.
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  • Couverture du Monde Illustré du 07 avril 1906 : Le ministre des travaux publics, M Barthou, dans sa descente au puits n°2, est arrêté par les cadavres à la veine Julie. Après le retour des rescapés, 20 jours après la catastrophe, une polémique et des grèves éclatèrent. On reprocha l'arrêt des recherches seulement trois jours après la catastrophe, on aurait peut-être pu retrouver d'autres mineurs vivants, si l'on avait continué les recherches. Industrie minière en France. La catastrophe des mines de Courrières dans le Pas-De-Calais, le 10 mars 1906, un coup de grisou fait 1099 victimes et 696 blessés. Suite à cette effroyable catastrophe, les mineurs du Nord se mettent en grève, fin mars ils sont plus 40 000 mineurs.  Malgré l'action de Georges Clemenceau et la présence de 20 000 militaires pour la répression de ces grèves, les mineurs obtiennent après deux mois de lutte, des concessions salariales et l'age minimum pour travailler dans les mines est fixé à 12 ans. Le 30 mars 1906, 17 jours après l'arrêt des recherches, un miracle se produit dans le puit numéro 6. On retrouve 13 hommes qui ont survécu pendant 20 jours dans la mine. Dans l'obscurité la plus totale, ils ont mangés tout ce qu'ils trouvèrent, avoine, cheval mort, ils furent obligés de boire leur urine pour survivre. Le 4 avril, on trouva un autre rescapé, Auguste Berton, il tournait en rond depuis 24 jours.
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  • En octobre 1947, en Tunisie, le général Leclerc, alors inspecteur des Forces terrestres, maritimes et aériennes en Afrique du Nord s'entretenant avec M. Konk, premier ministre du gouvernement tunisien.
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  • Fin octobre 1931, lors d'un voyage officiel au Cambodge, le ministre français des Colonies Paul REYNAUD gravissant les marches du grand escalier du temple d'Angkor.
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  • En mars 1922, pour la photo de classe au lycée Michelet à Paris, de jeunes Afghans sont groupés derrière le jeune fils du roi d'Afghanistan Aman ALLAH KHAN, NADIR SHAH assis au centre de la photo. A sa droite est assis le général VALI KHAN, ambassadeur et ministre plénipotentiaire ainsi que les membres de la mission afghane.
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  • Les funérailles d'Etat de Sir Winston Churchill dont le corps repose à Westminster Hall. Le dernier premier Ministre britannique à être ainsi honoré était Gladstone, au siècle dernier.<br />
Des officiers montent la garde aux quatre coins du cercueil.  janvier 1965.
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  • En juin 1955, à Buenos Aires, quatre avions bombardent la Casa Rosada, palais gouvernemental argentin, que le Président de la République Juan PERON vient de quitter pour se rendre au quartier général de l'armée de terre. Au même moment des bagarres éclatent aux portes des casernes. Ces actes de rébellion anti-péronistes sont rapidement suivis d'une contre-offensive organisée par le Président PERON et le Général LUCERO, ministre de l'armée et l'état de siège est levé le 29 juin. Après cette tentative de putsch, l'Argentine entre dans une période constitutionnelle rétablissant la liberté politique et la liberté de la presse.
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  • Le 12 novembre 1940, à son arrivée en gare d'Anhalt en Allemagne, MOLOTOV, Président du Conseil des commissaires du peuple d'U.R.S.S. et commissaire aux Affaires Etrangères passe en revue les troupes allemandes en compagnie du Général KEITEL et du ministre allemand des Affaires Etrangères, Joachim VON RIBBENTROP.MOLOTOV est venu demander à HITLER quel serait le rôle de l'U.R.S.S. dans l'Europe future.
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  • Le 15 septembre 1938, avant les accords de Munich, le führer HITLER (au 1er plan) rencontre le Premier Ministre britannique, Arthur CHAMBERLAIN (2ème sur la gauche) au chalet de Berghof (son Nid d'aigle), la résidence du chancelier allemand à Berchtesgaden.
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  • Portrait en mai 1950 de Liaqat Ali KHAN, Premier Ministre du Pakistan lors d'un passage à Londres où il est reçu par Clement ATLEE, son homologue britannique.Il se rend par la suite aux Etats-Unis.
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  • Le 21 juillet 1945 à Berlin, le premier ministre britannique Winston Churchill passant en revue la Grande parade de la Victoire. <br />
De gauche à droite, le maréchal Montgomery, M. Churchill, le maréchal Alexander et le secrétaire au Foreign Office Anthony Eden.
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  • Mai 1952, devant le 10, Downing Street à Londres, Anne Barry, membre de la Croix Rouge britannique, épingle un drapeau sur la veste du premier ministre Winston Churchill, pour le remercier de sa contribution à la journée de collecte de la Croix-Rouge.
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  • Aout 1946, a son arrivee a Geneve ou il vient passer des vacances, l'ancien premier ministre britannique Winston Churchill adresse a la foule venue l'accueillir son fameux signe de la victoire.
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  • Couverture du Monde Illustré du 07 avril 1906 : Le ministre des travaux publics, M Barthou, dans sa descente au puits n°2, est arrêté par les cadavres à la veine Julie. Après le retour des rescapés, 20 jours après la catastrophe, une polémique et des grèves éclatèrent. On reprocha l'arrêt des recherches seulement trois jours après la catastrophe, on aurait peut-être pu retrouver d'autres mineurs vivants, si l'on avait continué les recherches. Industrie minière en France. La catastrophe des mines de Courrières dans le Pas-De-Calais, le 10 mars 1906, un coup de grisou fait 1099 victimes et 696 blessés. Suite à cette effroyable catastrophe, les mineurs du Nord se mettent en grève, fin mars ils sont plus 40 000 mineurs.  Malgré l'action de Georges Clemenceau et la présence de 20 000 militaires pour la répression de ces grèves, les mineurs obtiennent après deux mois de lutte, des concessions salariales et l'age minimum pour travailler dans les mines est fixé à 12 ans. Le 30 mars 1906, 17 jours après l'arrêt des recherches, un miracle se produit dans le puit numéro 6. On retrouve 13 hommes qui ont survécu pendant 20 jours dans la mine. Dans l'obscurité la plus totale, ils ont mangés tout ce qu'ils trouvèrent, avoine, cheval mort, ils furent obligés de boire leur urine pour survivre. Le 4 avril, on trouva un autre rescapé, Auguste Berton, il tournait en rond depuis 24 jours.
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  • Alfred Dreyfus (1859-1935). En 1894, ce capitaine fut condamné au bagne pour espionnage au profit de l'Allemagne. La famille Dreyfus oeuvra pour faire réviser le procès. L'écrivain Zola publia en 1898 dans L'Aurore une lettre au Président de la République "J'accuse" qui fit éclater L'Affaire Dreyfus. Deux camps se formèrent, les dreyfusards (anti-cléricaux et antimilitaristes de gauche) et les antidreyfusards (nationalistes, conservateurs et antisémites). L'affaire reposait sur de faux documents: le colonel Henry se suicida et le ministre Cavaignac démissionna. Lors de la révision du procès en 1899 Dreyfus fut grâcié puis en 1906  réhabilité et réintégré dans l'armée et décoré de la Légion d'honneur.
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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  • Le 13 juillet 1906, épilogue de l'affaire Dreyfus à la Chambre des députés.  "Un violent tumulte se produit au pied de la tribune. Agitation prolongée". (Journal officiel du 14 juillet 1906).  C'est en ces termes que le Journal officiel rend compte de la rixe qui mit aux prises Albert Sarraut et M. Pugliesi-Conti.  La séance du 13 juillet à la Chambre, la dernière de la session, a été marquée par un incident d'une extrême violence. Après le vote des projets de loi portant réintégration dans l'armée du capitaine Dreyfus et du lieutenant-colonel Picquart, avec promotion au grade de chef d'escadron et de général de brigade, M. de Pressensé prononçait contre le général Mercier et divers autres officiers un réquisitoire véhément, lorsque, prenant part aux protestations de plusieurs membres de la droite, M. Pugliesi-Conti, député nationaliste du 17e arrondissement de Paris, assis à proximité du banc des ministres, s'écria: "Un gouvernement qui laisse inculper l'armée est un gouvernement de misérables!". Aussitôt, le plus jeune membre du cabinet, M. Albert Sarraut, sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur, bondit du banc ministériel sur l'interrupteur et le frappa violemment au visage.  Dessin de Louis Sabattier et extrait de l'article parus dans L'Illustration du 21 juillet 1906
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